100 hectares « bio » !

 
Converti à la culture biologique après un test, Lionel Raymond l'étend à l'ensemble de sa propriété en 2002. Pari risqué et coûteux ?

Pourtant, il y a peu, rien ne prédisposait les vignobles Raymond, le Saint-Laurent-du-Bois, dans le Haut-Macarien, à cette démarche. Viticulteurs de père en fils depuis des décennies, ces exploiants pratiquaient un mode de culture des plus classiques.

En 2000, Lionel, le petit-fils, achète une propriété en conversion biologique. N'ayant aucun à priori, il choisit de continuer dans cette voie. « Je tiens à être clair, précise-t-il d'entrée, l'objectif est de choisir un mode cultural personnel pour arriver à produire un vin de qualité.
J'ai opté pour ce système comme d'autres pour le leur, mon but étant de faire un bon vin tout en respectant la nature. Mais ce n'est pas parce que j'ai choisi cette option que le reste ne vaut rien. C'est aussi pour prendre de l'avance sur les contraintes européennes car un jour ou l'autre, on sera tous obligés d'y venir ».

Un tout autre challenge dans le vin bio

Un des autres éléments déterminants a été le cahier de charge inhérent au vin biologique.
"C'est le plus difficile à respecter. Si l'on en est capable, on est capable de respecter les autres», ajoute le jeune homme. Pendant deux ans, les 32 hectares initiaux vont servir de test. « Il fallait voir si l'on était capable de suivre ce mode cultural et d'obtenir des résultats en terme qualitatif avant de se lancer dans quelque chose de grand », poursuit l'exploitant.Les bons points ne tardent pas à tomber sous forme de médailles lors des divers concours. Rassuré, le viticulteur va pouvoir passer à la phase suivante. Le reste de la propriété — soit 74 hectares — est mis en conversion biologique.
Simple non ? Pas tout à fait, car c'est un tout autre challenge qui attend Lionel Raymond. Prati-
quer ce type de culture sur une superficie de trente hectares n'a aucune commune mesure avec ce qu'il a entrepris. « Plus qu'un fossé, c'est un ravin qui sépare les deux », dit-il.

Démystifier le bio

Ainsi, 2002 a été une année d'observation pour mesurer la teneur des investissements en personnel et matériel. Conclusion : cinq employés supplémentaires ont été recrutés et de lourds achats en équipements effectués. Pour mieux le comprendre, il faut véritablement connaître les obligations imposées par le mode biologique. « Le "bio" est un bien grand mot car c'est cultiver comme autrefois dans le respect de la nature. On utilise des produits na turels et une façon de travailler manuelle. C'est un labeur long et astreignant qui demande un matériel adapté si l'on veut s'attaquer à de grandes surfaces. Donc c'est très coûteux », poursuit-il.

 

Ainsi, le pari est très risqué, ce dont lé viticulteur est conscient. « C'est 30  de charges supplé-
mentaires par an, une démystification complète du bio au niveau du consommateur avec des risques culturaux importants. Mais je reconnais que c'est un beau challenge », conclut Lionel Raymond. Avec en plus l'assurance de pouvoir répondre aux questions que se pose de plus en plus le consommateur.

A la rencontre des vins, le respect des traditions

La société GSR qui gère le site « bistro-a-vin» a été fondée en 2010 sur un constat :

Sur internet les vins issus de l'agriculture raisonnée ne sont pas suffisamment représentés, alors que cette démarche agricole est dans la droite ligne du respect de la terre, du vin, de l'environnement et
donc du consommateur. voir cette étude "perception et limage des vins"

Notre engagement : sélectionner les meilleurs vins de toutes les régions françaises, et vous les proposer au meilleur prix avec une qualité de service irréprochable.

Notre comité de sélection, dirigé par Antoine Rubert, amoureux du vin et de ses terroirs, parcourt les vignobles, sélectionne et déguste inlassablement : seuls les meilleurs vins et les producteurs
les plus respectueux de l'environnement sont retenus. vous faire partager la richesse et la diversité de l'univers du vin, en vous présentant aussi bien des vins inattendus que des grands
classiques.

Comment choisir des bonnes jantes en alliage ?

Une raison de changement de jantes en acier sur celles en alliage est généralement un désir d’améliorer l’apparence de la voiture. Il n’est pas donc étonnant que lorsque les clients choisissent les jantes, d’habitude, ils suivent principalement la forme de produit, et parmi d’autres priorités, sur la deuxième place est bien sûr le prix bas. Pourtant, il ne faut pas oublier que la jante a seulement pour but de se présenter bien. Elle est aussi un élément dont dépend la sécurité des personnes qui voyagent en voiture.

Les acheteurs ne se soucient généralement pas de la qualité des jantes, car il n’est pas facile de l’évaluer à l’œil nu. Cependant, les personnes qui choisissent les offres les moins chères, risquent beaucoup. La contrefaçon peut sembler le même que l’original, mais elle ne l’égalera pas en résistance. Pas grand-chose si, après quelques mois, sa peinture commence à disparaître comme sur la carrosserie et au lieu d’embellir la voiture, elle commence à l’enlaidir. Encore pire que, après avoir entré dans le trou, la jante s’est délabrée en petites morceaux.

Les jantes en alliage causent que la voiture se présente mieux et c’est la raison la plus commune de leur achat. Grâce à leur construction ajourée, elles conduisent la chaleur à partir de l’étrier de frein, mieux que des jantes en acier, ce qui est important en particulier dans les voitures avec un bon rendement. Les jantes en alliage qui sont correctement sélectionnées, sont aussi plus durables que les jantes en acier.

Le terme « les jantes en alliage légères » peut être une source de confusion. Contrairement à la croyance populaire, les jantes en alliage ne sont pas plus légères que celles en acier, ce qui signifie que les opinions qu’elles améliorent la conduite de voiture en réduisant les « masses non suspendues » sont fausses. On peut obtenir ces avantages seulement si on choisit les jantes professionnelles, sportives et très coûteuses. Comment donc savoir si les jantes sont de bonne qualité ?

La production de jante qui se présente bien quand elle est neuve, n’est pas difficile. Même les experts ne peuvent pas distinguer à l’œil nu les produits de marque des contrefaçons. Il vaut mieux d’éviter les offres les moins chères, des fabricants qui sont récemment entrés sur le marché.

Attention ! Les vendeurs de contrefaçons affirment souvent que ce sont des « déchets » de la production de jantes de marque et leur bon prix est causé par le fait qu’il n’y a pas sur eux de logo d’un fabricant prestigieux. Généralement, il n’est pas vrai. Il vaut toujours la peine de chercher sur Internet des opinions des utilisateurs de jantes qui nous intéressent. La véritable qualité des produits ne peut pas être connue qu’après une utilisation longue. D’habitude, les jantes moins chères se déforment très facilement, elles se brisent et leur peinture disparaît très rapidement. Toutes les jantes qui sont proposées à la vente doivent avoir des certificats européens, attestant qu’elles répondent aux exigences minimales en termes de sécurité. Les fabricants de contrefaçon le savent très bien et seulement ceux qui sont le plus insolent ne les signifient pas par les signes et symboles nécessaires. Si on achète des jantes auprès d’un fournisseur douteux, il n’y a pas la peine de compter sur le fait qu’elles ont réussi les tests, même si elles ont les marquages ​​appropriés.

Les jantes réalisées dans la technologie de forgeage ont la plus grande résistance (jusqu’à 5 fois plus que les jantes en acier). Il vaut la peine d’investir en eux dans le cas des voitures de luxe, d’une haute puissance, dont les roues doivent porter de lourdes charges.